Dernière mise à jour à 08h26 le 17/11
Le président congolais Dénis Sassou Nguesso a présenté lundi les condoléances officielles du peuple congolais à l'endroit de la France, suite à la série d'attaques terroristes perpétrées vendredi dernier dans la capitale française.
"Au nom de la République du Congo, nous condamnons fermement ces crimes abominables, exprimons notre compassion et notre solidarité au peuple français", a écrit Sassou Nguesso dans le livre de condoléances ouvert à cette effet à l'ambassade France à Brazzaville.
Le président congolais avait posté un message sur son compte Facebook, dans lequel, il qualifiait ces attaques d'"horreur sans nom et crime odieux", et exprimait la compassion et la solidarité du peuple congolais à l'endroit du gouvernement et du peuple de France.
Par ailleurs, dans une lettre adressée samedi à son homologue français François Hollande, le chef de l'état congolais avait condamné ces actes et souligné la nécessité de coordonner les efforts en vue de lutter efficacement contre l'extrémisme.
"Ces actes barbares que je condamne avec véhémence, nous interpellent tous et nous rappellent, une fois de plus, la nécessité pour la communauté internationale d'unir ses efforts en vue de combattre énergiquement le terrorisme et l'extrémisme sous toutes ces formes", a écrit Sassou Nguesso dans son message.
Elections en Turquie : triomphe pour le Président Erdogan et son parti
Un guide touristique chinois se fait voler 25 000 Euros et sa Rolex près de Paris
Gros porteur chinois : le C919 quitte la ligne d'assemblage
Mort de Günter Schabowski, l'homme qui a précipité la chute du Mur de Berlin
Les femmes pilotes de chasse de l’armée de l’air chinoise
Le deuxième plus haut bâtiment du monde se trouve à Tianjin
Exercices en Mer de Chine du Sud pour la marine chinoise
Les cinq chars d'assaut les plus chers du monde
Les attaques terroristes de Paris, un avertissement
Accident d'une rame d'essai de TGV dans l'Est de la France : 11 morts
La Russie appelle à l'adoption d'une nouvelle constitution en Syrie
Pourquoi la France envoie à nouveau le « Charles de Gaulle » frapper l'Etat islamique