Dernière mise à jour à 08h17 le 29/06
![]() |
| (Xinhua/BRAZILIAN PRESIDENCY) |
Le président brésilien Michel Temer s'est défendu mardi contre les accusations de corruption passive formulées officiellement la veille par le bureau du procureur général.
Entré en fonction il y a un an après la destitution de son prédécesseur, Dilma Rousseff, M. Temer est devenu le premier chef de l'Etat brésilien en exercice à être formellement visé pour un crime de droit commun.
Dans un communiqué, le président a qualifié ces accusations de fragiles et de fiction, se disant la victime d'une "infamie" et accusant le procureur général Rodrigo Janot de tenter de "paralyser le pays".
La police fédérale et le bureau du procureur général assurent disposer de preuves "abondantes" contre Michel Temer, soupçonné d'avoir reçu de l'argent d'un industriel de la viande, alors que le président juge ces accusations infondées et nie tout agissement illégal.
L'initiative chinoise apporte une riche innovation
Implantation en Chine de la première usine à l'étranger de Boeing pour ses 737
La province du Fujian au carrefour de la Route de la Soie maritime
CEFC China Energy va renforcer ses investissements dans l'énergie dans les pays « Une Ceinture, une Route »
Construisons un nouveau monde plus ouvert et gagnant-gagnant
Klaus Schwab : ouvrons un nouveau chapitre dans l'histoire de la prospérité et du développement mondiaux
Chengdu compte être au cœur des échanges sino-européens
CR Express : le pari de relier l'intérieur de la Chine à l'Europe