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(Bilan 2014) Litige territorial Chine-Philippines: l'arbitrage international n'est qu'une tactique de diversion

( Source: Xinhua )

16.12.2014 08h19

L'arbitrage international que revendiquent les Philippines, en invoquant la Convention des Nations unies sur le droit de la mer (CNUDM), sur le litige territorial avec la Chine dans la mer de Chine méridionale, ne vise qu'à détourner l'attention du monde.

La Chine a déclaré à maintes reprises qu'elle n'acceptera ni ne participera à la procédure, qui ne fera qu'attiser les tensions en mer de Chine méridionale.

La procédure initiée par Manille est en fait une farce, qui, sous couvert de la loi, a pour intention de faire croire aux gens n'ayant pas une connaissance précise sur l'affaire, que Beijing ne respecte pas le droit international.

La Chine a déjà exclu, dans une déclaration faite en 2006 en vertu de l'article 298 de la CNUDM, les différends concernant la démarcation maritime, l'application de l'arbitrage et d'autres procédures obligatoires.

En fait, ni la Chine ni les Philippines n'ont ratifié la CNUDM à part entière.

En outre, l'essence de l'objet de l'arbitrage est la souveraineté territoriale sur plusieurs espaces maritimes en mer de Chine méridionale, qui est au-delà de la portée de la CNUDM.

Il est préférable que les différends spécifiques soient résolus via des négociations et des consultations par les pays directement concernés. La rationalité de la "double approche" proposée par la Chine a été reconnue par les parties impliquées dans les litiges en mer de Chine méridionale.

Manille cherche désespérément la procédure d'arbitrage, à la manière d'un bébé pleurant. Il pourrait détourner l'attention pour un moment, mais les querelles juridiques et diplomatiques qui s'ensuivent devraient compliquer en revanche la situation en mer de Chine méridionale.

Beijing et Manille avaient convenu, par le biais des instruments bilatéraux, de régler leurs différends par négociations. Mais, en ayant recours à l'arbitrage, Manille a manqué à son obligation sous le droit international, et a mis à mal le développement des relations bilatérales avec la Chine, qui étaient sur une bonne voie de négociations et de coopération.

Les Philippines devraient faire preuve de rationalité, compte tenu d'une interdépendance économique accrue entre les pays autour de la mer de Chine méridionale. Les intérêts de tous ces pays seront en jeu en cas de l'impasse diplomatique prolongée.

Grâce aux négociations, la Chine a réglé ses litiges territoriaux terrestres avec la quasi-totalité de ses voisins, et a achevé la délimitation du Golfe de Beibu avec le Vietnam.

Ces faits ont prouvé que l'existence de différences n'est pas à craindre. Tant que les pays concernés ont une bonne volonté de s'engager dans des consultations et des négociations amicales sur un pied d'égalité, ils peuvent renforcer la confiance mutuelle, élargir la compréhension commune et régler les différends étape par étape.

Ainsi, il est recommandé que les Philippines retournent dès que possible sur la voie des négociations, en revenant sur leurs spéculations juridiques.

La Chine, qui ne cédera pas le moindre pouce de son territoire, est prête à coopérer avec d'autres pays pour ce qui concerne la gestion des ressources et la navigation en mer de Chine méridionale, de manière à profiter non seulement à chaque pays individuel, mais aussi à la région dans son ensemble.

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