Dernière mise à jour à 08h44 le 18/04
La police zambienne a réfuté dimanche des rapports selon lesquels elle avait refusé des soins médicaux au principal leader de l'opposition du pays en détention.
Hakainde Hichilema, chef du Parti unique pour le développement national (UPND), a été détenu la semaine dernière et accusé de trahison.
Charles Kakoma, porte-parole du parti, a déclaré que la santé du chef de l'opposition se détériorait et qu'il ne se sentait pas bien depuis qu'il a été détenu en raison de l'attaque brutale lorsque la police a attaqué son domicile.
Le parti a depuis demandé que le chef de l'opposition soit soumis à des examens médicaux rigoureux et à un traitement par des médecins indépendants.
Mais la porte-parole de la police, Esther Mwaata-Katongo, a dissipé les allégations selon lesquelles la santé du chef de l'opposition se détériorait et qu'on lui avait refusé des soins médicaux.
Elle a fait savoir que depuis la détention du chef de l'opposition, la police a permis à son médecin personnel de le visiter et de lui faire des examens médicaux de routine.
Elle se demande pourquoi la police pourrait refuser des soins médicaux au chef de l'opposition lorsqu'il était juste suspect alors que les personnes qui ont été condamnées ont généralement droit à des soins médicaux.
"En tant que police, nous ne prendrons pas ces déclarations injustifiées à la légère parce qu'elles visent à perturber la sécurité de la nation", a-t-elle souligné dans un communiqué.
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