Dernière mise à jour à 16h56 le 22/03
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4/4Liu Jianqiao, chef de l'équipe et professeur au Centre de médecine de la reproduction, affilié au Troisième Hôpital de l'Université médicale de Guangzhou (sud de la Chine), a présenté ses nouvelles recherches auprès de la communauté scientifique chinoise.
La revue scientifique Molecular Genetics and Genomics a publié début mars les résultats de recherche d'une équipe chinoise concernant la première étude au niveau de l'utilisation de la technique CRISPR sur des cellules diploïdes humaines.
Liu Jianqiao, chef de l'équipe et professeur au Centre de médecine de la reproduction, affilié au Troisième Hôpital de l'Université médicale de Guangzhou (sud de la Chine), a présenté ses nouvelles recherches auprès de la communauté scientifique chinoise.
Les chercheurs ont réussi pour la première fois à appliquer la technique d'édition du gène CRISPR sur des embryons diploïdes humains, c'est-à-dire un embryon composé d'un ovule et d'un spermatozoïde, et à apporter des réparations sur ceux portant des mutations génétiques, confirmant ainsi la possibilité d'une intervention humaine pour traiter les maladies génétiques par défaut de gène.