Flash :

Premier ministre du Lesotho: pas de séance parlementaire avant de restaurer la paix Soudan du Sud : l'IGAD condamne de nouveaux combats Le Kenya en alerte avant le 1er anniversaire de l'attaque terroriste de Westgate Algérie : le syndicat des magistrats appelle au durcissement de la loi anticorruption Forte demande pour les billets de train d'une nouvelle voie au Tibet Les rebelles centrafricains enlèvent 9 personnes dans l'est du Cameroun Algérie : deux terroristes tués par l'Armée près de Jijel Chine : de fortes pluies frappent l'est de la Chine à l'approche de Fung-Wong Une recrue de la police égyptienne est abattue par des militants Tunisie : une première femme candidate officiellement en lice pour la présidentielle de novembre Libye : les assassinats ciblés font quatorze morts à Benghazi Ouverture d'une enquête à l'encontre d'un directeur adjoint de l'organe législatif du Henan La Chine en alerte à l'approche du typhon Fung-Wong Chine : une personne suspectée de fraude arrêtée après 15 ans de fuite au Canada Chine : un haut responsable de la Mongolie intérieure démis de ses fonctions Chine : exercice de défense anti-aérienne à Beijing La Chine ferme 1,8 million de comptes en ligne dans sa lutte contre la pornographie Un pic de crue passe le barrage des Trois-Gorges Typhon Kalmaegi : le bilan s'alourdit à huit morts Reprise prochaine des pourparlers indirects entre Israël et le Hamas au Caire

Beijing  Très nuageux  28℃~16℃  City Forecast
Français>>Afrique

Premier ministre du Lesotho: pas de séance parlementaire avant de restaurer la paix

( Source: Xinhua )

22.09.2014 08h47

Le Premier ministre du Lesotho Thomas Thabane a déclaré samedi que le Parlement ne pouvait pas se réunir à nouveau si la paix et la stabilité ne sont pas restaurées dans le pays.

"Je suis toujours sous la protection de l'armée sud-africaine et cela signifie que tout le monde n'est pas en paix dans le pays", a annoncé M. Thabane lors des funérailles d'un officier de police.

Mokheseng Ramahloko, 52 ans, a été abattu par balles le 30 août dernier dans la capitale du pays, Maseru, par les forces armées qui avaient pris d'assaut des commissariats.

Le commandant de police Khothatso Tsoana a indiqué que la mort de Ramahloko, qui venait d'être promu au poste de sous-inspecteur, était le pire incident jamais commis par l'armée.

Le Lesotho, un pays entouré par l'Afrique du Sud, a été ébranlé par une tentative de coup d'Etat le 30 août qui a tendu les relations entre la police et les forces armées.

Tlali Kamoli, commandant de la force de défense du Lesotho, qui est tenu pour responsable de la tentative, a refusé de quitter son poste.

Lors des funérailles, Khoabane Theko, un chef de village influent, a appelé à la démission de M. Kamoli au profit de Maaparankoe Mahao, le commandant militaire qui vient d'être nommé.

Selon le chef de village, il faudrait que M. Kamoli accepte de se retirer pour que la paix soit restaurée dans le pays.

Par ailleurs, les dirigeants de la Communauté de développement d'Afrique australe et de la coalition du Lesotho ont indiqué que des élections anticipées pourraient aider à restaurer l'ordre politique dans le pays.

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales