Dernière mise à jour à 15h42 le 03/02
1/13Dans l'ouest de la capitale afghane Kaboul, sur une montagne enneigée, un groupe féminin en vêtements traditionnels chinois posent devant la caméra.
2/13Les membres du club montent sur une montagne pour s’adonner à leur art préféré.
3/13Des exercices réguliers sont obligatoires.
4/13Une séance d’entraînement sur la montagne enneigée.
5/13Petit rassemblement pour un selfie. Sima Azimi, 20 ans, est l’initiatrice de la structure. Les arts martiaux lui permettent de se protéger tout en lui apportant un souffle d’émancipation.
6/13Les membres du club profitent parfois d’une gym pour faire des exercices. Sur le mur, une affiche de Hussain Sadiqi, champion local d'arts martiaux. L’athlète est parti en Australie en 1999 et est devenu cascadeur.
7/13Sabera Bayanne, 20 ans, s’exerce sur un gros pneu.
8/13Séance d’entraînement.
9/13Mena Azimi (à droite), 15 ans, échange quelques gestes avec son amie.
10/13Pour Hatifa Rezai de 15 ans, la coiffure est aussi importante pendant l’entraînement.
11/13Les jeunes filles quittent la gym.
12/13L’heure du thé pour Sima Azimi (à gauche) et Sabera Bayanne (à droite). Toutes les deux ont 20 ans, l’une est le coach et l’autre l’élève.
13/13L’heure du thé pour Sima Azimi (à gauche) et Sabera Bayanne (à droite). Toutes les deux ont 20 ans, l’une est le coach et l’autre l’élève.
Dans l'ouest de la capitale afghane Kaboul, sur une montagne enneigée, un groupe féminin en vêtements traditionnels chinois posent devant la caméra. Dans un pays où les femmes ont l'interdiction de pratiquer une discipline sportive, ce club d'arts martiaux de Shaolin est unique.