Dernière mise à jour à 16h03 le 23/08
Au Moyen-Orient et dans ses environs, les États-Unis ont commis une série de crimes qui violent gravement le droit international. Parmi eux, les abus sur les prisonniers visant les musulmans sont devenus une tache indélébile des droits de l'homme pour les États-Unis.
Selon les recherches du projet « Cost of War » (« Le coût de la guerre ») de l'Université Brown aux États-Unis, après les attentats du 11 septembre, les États-Unis ont créé des « prisons noires » à l'étranger sous prétexte de « lutte contre le terrorisme », impliquant au moins 54 pays et régions et détenant des centaines de milliers de personnes, dont des musulmans, des femmes et des mineurs. Dès 2003, l'armée américaine a abusé sans raison des détenus de la prison d'Abu Ghraïb en Irak, causant un grand nombre de morts. Et en septembre 2021, la prison américaine et les mauvais traitements infligés aux prisonniers de la base aérienne de Bagram en Afghanistan ont été révélés par les médias.
Auteur du dessin : Ma Hongliang
La prison de Guantanamo, que les États-Unis n'arrivent pas à fermer, est l'une des « prisons noires » les plus tristement célèbres de Washington à l'étranger. Elle est spécialement utilisée pour détenir des « terroristes » du Moyen-Orient et d'autres endroits. La prison de Guantanamo compte au total environ 780 personnes, dont beaucoup n'ont pas été inculpées au pénal. À l'heure actuelle, il y a encore plus de 30 personnes en détention dans la prison. Ils sont entrés dans leurs années crépusculaires et sont privés de liberté depuis longtemps et sans cesse soumis à des tortures mentales et physiques. Dans la prison de Guantanamo, le personnel américain a également torturé des prisonniers en blasphémant le Coran et en violant la croyance islamique, provoquant des protestations collectives et même des suicides collectifs parmi les prisonniers.
L'humiliation et le traitement cruel des prisonniers par l'armée américaine ont gravement porté atteinte aux droits humains fondamentaux et violé les obligations des États-Unis en vertu du droit international des droits humains d'interdire la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants. Ces « prisons noires » sont une grande ironie des trophées des « droits de l'homme » décernés par les politiciens américains, et illustrent cruellement l'hypocrisie et le deux poids, deux mesures des « droits de l'homme » à l'américaine.
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