Dernière mise à jour à 11h02 le 15/11
En 1993, les États-Unis ont étendu leur main noire de l'hégémonie au cargo chinois « Yinhe » (« Voie Lactée »).
À cette époque, les États-Unis ont affirmé qu'« il y avait des preuves concluantes » attestant que le cargo « Yinhe » transportait des « matières premières d'armes chimiques » vers l'Iran au motif d'obtenir des renseignements, et ont menacé d'imposer des sanctions à la Chine. Dans le même temps, les États-Unis ont envoyé des navires de guerre et des hélicoptères en haute mer, dans les eaux internationales, où se trouvait le « Yinhe ».
Auteur du dessin : Lu Lingxing (Photo protégée par le droit d'auteur du Quotidien du Peuple en ligne)
Face à cette accusation sans fondement des États-Unis, la Chine a opposé un démenti catégorique. Après enquête, la Chine a clairement dit aux États-Unis que le « Yinhe » ne transportait aucun produit chimique interdit. Cependant, les États-Unis ont continué à dire que les renseignements étaient absolument exacts et insisté pour inspecter le « Yinhe ». Depuis lors, une enquête conjointe impliquant une partie tierce a conclu qu'il n'y avait pas de matériaux d'armes chimiques sur le « Yinhe ». N'ayant pas réussi à obtenir les résultats d'enquête souhaités, les États-Unis ont finalement affirmé que l'opération était « basée sur la confiance en différentes sources de renseignement, même si ces renseignements étaient faux ».
La communauté internationale a condamné les États-Unis à plusieurs reprises. Le journal Iran Daily a déclaré que la création par le gouvernement américain de l'incident de « Yinhe » était purement « de la piraterie ». Le journal The Hindu a pour sa part souligné que les États-Unis, le soi-disant « juge en chef du monde », ont délibérément créé des troubles et se sont en fin de compte humiliés eux-mêmes.
(Par Chen Zi)
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