Dernière mise à jour à 15h30 le 07/06
1/5Jiang Manzong choisit un qipao pour une cliente dans la boutique de qipao « Dragon et Phénix », le 30 mai à Shanghai (est de la Chine). (Xin Mengchen / Xinhua)
2/5Jiang Manzong vient dans la boutique de qipao « Dragon et Phénix », le 30 mai à Shanghai (est de la Chine). (Xin Mengchen / Xinhua)
3/5Jiang Manzong présente les techniques de fabrication dans la boutique de qipao « Dragon et Phénix », le 30 mai à Shanghai (est de la Chine). (Xin Mengchen / Xinhua)
4/5Un qipao photographié dans la boutique de qipao « Dragon et Phénix », le 30 mai à Shanghai (est de la Chine). (Xin Mengchen / Xinhua)
5/5Jiang Manzong fabrique un « pankou » (un bouton spécifique au qipao) dans l'Institut de formation au patrimoine culturel immatériel national « Techniques du qipao Dragon et Phénix », le 31 mai à Shanghai (est de la Chine). (Xin Mengchen / Xinhua)
Les techniques du qipao « Dragon et Phénix », une robe traditionnelle chinoise, proviennent de l'atelier de confection Su Guang, spécialisé dans les vêtements chinois depuis la fin de la période Qianlong de la dynastie Qing (1644-1911), et ont été inscrites sur la liste du Patrimoine culturel immatériel national en 2011. Les techniques de fabrication de ces robes sont entièrement manuelles, de haute qualité et personnalisées, et consistent en neuf techniques principales.
Né en 1966, Jiang Manzong est l'héritier de la quatrième génération et le promoteur des techniques du qipao « Dragon et Phénix ». Il est venu avec ses apprentis dans des communautés et des écoles, et a représenté son entreprise lors de grandes expositions afin de cultiver l'intérêt des jeunes pour la culture du qipao et de présenter le charme de ce vêtement à des publics nationaux et étrangers.
Jiang Manzong espère que de plus en plus de femmes pourront porter des qipao dans la rue. Il a dit que : « il manque d'un vêtement dans les armoires de beaucoup de femmes, et j'espère que ce vêtement sera un qipao ».
