Dernière mise à jour à 13h48 le 14/07
1/5Habudelashen Nusupbek vérifie le nombre de ses chèvres au lever du soleil dans le comté de Yumin de la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 4 juillet 2023. (Photo / Xinhua)
2/5Baht Turlksi achète des produits de première nécessité pour le voyage de son mari et des marchandises pour son magasin dans un magasin du comté de Yumin, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 2 juillet 2023. (Photo / Xinhua)
3/5Habudelashen Nusupbek fait bouillir du thé dans les pâturages d'été du comté de Yumin, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 4 juillet 2023. (Photo / Xinhua)
4/5Baht Turlksi apporte le dîner et d'autres choses au campement du premier jour de voyage aux pâturages d'été dans le comté de Yumin, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 3 juillet 2023.
5/5Habudelashen Nusupbek conduit des chèvres aux pâturages d'été dans le comté de Yumin, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 3 juillet 2023. (Photo / Xinhua)
Baht Turlksi, une éleveuse de 53 ans, vit près du majestueux mont Baluke, situé au sud du comté de Yumin, dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest de la Chine).
En kazakh, « Baht » signifie « bonheur »,et ce nom traduit l'attente la plus pure des parents d'une vie meilleure pour la génération suivante. Grâce au travail acharné de la famille au fil des décennies et au soutien du gouvernement, ces vœux sont déjà devenus réalité.
Tout au long de l'année, les éleveurs kazakhs se déplacent entre les pâturages d'hiver, les pâturages de printemps-automne et les pâturages d'été. Pour de nombreuses familles nomades du Xinjiang, l'effort de modernisation du pays a apporté des avantages constants à leur vie quotidienne.
Ces dernières années, le gouvernement chinois a lancé des projets de construction d'établissements permanents pour les bergers, où des services médicaux, éducatifs et culturels sont également disponibles. Comme de nombreux éleveurs du Xinjiang, la vie de la famille de Baht est aujourd'hui semi-sédentaire.
Depuis plusieurs années, Baht a cessé d'accompagner son mari vers d'autres pâturages. Elle préfère rester à la maison pour tenir un magasin et s'occuper de ses enfants, qui doivent aller à l'école.
Récemment, la famille a entamé la transhumance de cette année vers les pâturages d'été, qui sont considérés comme très importants pour la croissance des chèvres. Au cours des deux prochains mois, Habudelashen Nusupbek, le mari de Baht, et d'autres membres de la famille feront paître plus de 400 chèvres qu'ils possèdent dans les montagnes jusqu'à la tombée des premières neiges en septembre, date à laquelle ils feront à nouveau la transhumance pour rentrer chez eux.