Dernière mise à jour à 08h58 le 27/09
La Chine a traité 84 cas impliquant de faux journalistes et médias depuis le lancement d'une campagne contre la pornographie et les publications illégales en juin.
Dans une affaire récemment révélée par le Bureau national contre la pornographie et les publications illégales, un faux reporter, dont le nom de famille est Ma, dans la province du Hebei (nord), a été condamné à six ans de prison et à une amende de 100.000 yuans (15.000 dollars) pour racket.
M. Ma a demandé de l'argent à plusieurs victimes, soit le prix du silence, en les menaçant de publier des articles négatifs à leur sujet, à une vingtaine de reprises.
Dans un autre cas faisant l'objet d'une enquête, cinq suspects ont été impliqués dans la fabrication de fausses cartes de presse et la création d'une base de données "officielle" de journalistes.
Lors de la campagne, les autorités ont également découvert 670.000 journaux et magazines illégaux.
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