Les journalistes de l’opération « Sur la Nouvelle Route de la Soie » lancée par le Quotidien du Peuple en ligne sont arrivés dans la deuxième plus grande ville de l'Iran, Mashhad. Pays important sur l'ancienne Route de la Soie, l'Iran et la Chine ont maintenu des relations d'affaires étroites.
Dans les rues iraniennes, si on voit quelquefois la silhouette de voitures fabriquées en Chine, en revanche, dans le prospère bazar, les marchandises chinoises sont partout, et les commerçants iraniens crient « ni hao » (« bonjour »), « xiexie » (« merci ») pour attirer les clients venus faire des affaires et les voyageurs chinois, tandis que dans une famille iranienne ordinaire, les journalistes ont aussi pu voir que le « Made in China » se retrouve dans tous les endroits.
Celus est un jeune homme originaire de Mashhad, qui travaille dans une agence de voyage. Son père est un marchand de tapis iraniens authentiques, vendus au Japon, en Allemagne et en Australie. Cependant, son plus grand souhait est de voir ses propres tapis faits à la main vendus sur le marché chinois.
Les journalistes du Quotidien du Peuple en ligne ont eu l'honneur d’être invités chez Celus, où ils ont pu voir, un peu partout dans sa maison, une radio, des vases en porcelaine, du papier découpé traditionnel, une table à repasser, un décodeur de télévision, des vêtements, un ordinateur, etc, tous des produits « Made in China », que Celus n’a cessé de leur présenter.