Dernière mise à jour à 09h28 le 06/03
Le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Yukiya Amano, a averti lundi que la fin de l'accord sur le programme nucléaire iranien porterait un coup dur au régime d'inspection nucléaire et au multilatéralisme.
Lors d'une réunion du conseil des gouverneurs de l'instance onusienne en charge de la sûreté nucléaire, il a redit que l'Iran coopérait avec ses équipes chargées de surveiller la mise en oeuvre par Téhéran de cet accord conclu en juillet 2015 à Vienne.
Si cet accord n'était plus appliqué, "cela constituerait une grande perte pour la vérification nucléaire et pour le multilatéralisme", a estimé M. Amano.
Le président américain Donald Trump a critiqué maintes fois cet accord acquis après des années de difficiles négociations sous le mandat de son prédécesseur, Barack Obama, alors que les autorités iraniennes ont martelé qu'elles n'accepteraient jamais qu'il soit renégocié.
Aux termes de cet accord historique cosigné par l'Iran et le groupe P5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume-Uni et Allemagne), Téhéran a accepté de réduire son programme nucléaire en échange d'une levée partielle des sanctions internationales imposées à son encontre.
L'accord, connu sous l'acronyme JCPOA, ne concerne toutefois pas le programme balistique de la République islamique, considéré par des pays occidentaux comme étant lié à la capacité nucléaire du pays.
Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, s'est rendu lundi à Téhéran pour réaffirmer le soutien de l'Union européenne à l'accord sur le nucléaire, tout en cherchant à obtenir de l'Iran qu'il modère son programme balistique.
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