Dernière mise à jour à 09h46 le 17/03
Des lacunes sont largement répandues dans l'ensemble du continent européen, en matière d'identification et de protection des victimes de la traite parmi les demandeurs d'asile, les réfugiés et plus généralement les migrants, a rappelé mercredi le Conseil de l'Europe (CoE), en rendant public un nouveau rapport de son Groupe d'experts sur la lutte contre la traite des êtres humains (GRETA).
Selon ce rapport général qui couvre la période du 1er octobre 2014 au 31 décembre 2015, les enfants à risque sont souvent traités comme des délinquants ou des migrants en situation irrégulière par les services répressifs qui ne sont peut-être pas suffisamment formés et, souvent, ne cherchent pas à repérer des signes indiquant l'existence de trafics.
"Le rapport d'aujourd'hui souligne que bon nombre de nos Etats membres doivent élaborer de meilleures procédures pour identifier les enfants victimes de la traite et améliorer l'assistance qui leur est prodiguée", a déclaré le secrétaire général du CoE Thorbjorn Jagland.
Et pour le président du GRETA, Nicolas Le Coz, "les obligations juridiques des Etats en matière d'identification et de protection sont un rempart contre la traite et l'exploitation des êtres humains autant qu'une arme contre les trafiquants".
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