Dernière mise à jour à 10h44 le 16/08
Les fausses accusations contre le Xinjiang portées par le gouvernement américain, des médias américains et des ONG parrainées par le gouvernement américain ne visent pas à protéger les droits humains, mais à contenir la Chine, a commenté un universitaire italien.
Uniquement pour défendre leurs intérêts géopolitiques, les Etats-Unis ont systématiquement fabriqué et répandu de la désinformation sur le Xinjiang, et "le but principal de cette campagne est de contenir la Chine et de la déstabiliser", a expliqué Fabio Massimo Parenti, professeur d'études internationales à l'Institut international Lorenzo de Medici de Florence, en Italie.
La source des accusations contre le bilan de la Chine en matière de droits de l'homme ne s'appuie pas sur des faits vérifiables mais sur des chiffres et des histoires fabriqués, a indiqué M. Parenti dans une récente interview accordée à Xinhua.
Certains politiciens ainsi que des agences gouvernementales, des médias, des groupes de réflexion et des institutions universitaires aux Etats-Unis se sont depuis longtemps entendus pour créer un ennemi et alimenter la peur parmi la population afin de justifier certaines politiques étrangères américaines, a dit M. Parenti, ajoutant que ces politiques étaient toutes basées sur une logique hégémonique et une mentalité à somme nulle.
Des médias américains, en particulier, utilisent à nouveau le "journalisme de guerre" pour couvrir le Xinjiang, a noté M. Parenti.
"Il n'y a pas de différences significatives entre ce que les médias américains ont fait avec le Kosovo, l'Irak, la Syrie et avec le Xinjiang chinois en matière de techniques de propagande : fabrication de nouvelles, utilisation de faux témoignages, répétition de fausses nouvelles ad nauseam, censure d'explications et de perspectives alternatives, campagne de diffamation personnelle contre les journalistes et universitaires indépendants, etc.", a-t-il déclaré.
Les Etats-Unis, a indiqué M. Parenti, ont développé la machine de propagande moderne la plus sophistiquée, qui a été utilisée pour mener des guerres dans le monde depuis plus d'un siècle.
L'histoire de cette machine remonte à 1916, lorsque le Comité de l'information publique, également connu sous le nom de Comité Creel, a été créé sous l'administration du président américain de l'époque Thomas Woodrow Wilson afin d'influencer l'opinion publique pour qu'elle soutienne le pays dans la Première Guerre mondiale, a-t-il noté.
Outre des médias américains, des ONG affiliées au gouvernement américain constituent une autre chaîne cruciale dans la circulation de fausses informations, a déclaré M. Parenti.
Prenons l'exemple du Congrès mondial ouïghour. L'organisation dédiée à la séparation du Xinjiang de la Chine est parrainée par le National Endowment for Democracy, une agence directement financée par le Congrès américain, a-t-il précisé.
Selon M. Parenti, il nécessaire et important non seulement de dévoiler l'hypocrisie de la machine de propagande américaine et les intérêts réels qui la sous-tendent, mais également de promouvoir des canaux alternatifs de production et de circulation de l'information basés sur la qualité et des normes professionnelles plus élevées.
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