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Un pays rétrograde et tueur de l'écologie

le Quotidien du Peuple en ligne | 16.11.2020 14h22

La liste des faits sur les dommages à l'environnement des États-Unis est très mauvaise. Sur la question de la nécessité d'une réponse mondiale pour protéger les générations futures, les États-Unis ont choisi de faire porter le chapeau aux autres et de faire cavalier seul. Ce sont les États-Unis qui sont le plus grand perturbateur de la coopération environnementale internationale et la plus grande menace pour l'environnement mondial. Le secrétaire d'État adjoint René Clarke Cooper a pourtant récemment clamé sur Twitter que la Chine est la plus grande menace pour l'environnement mondial.

Cependant, quand on regarde la Chine, le concept de « civilisation écologique » est inscrit dans la constitution, et le concept de développement « l'eau pure et les montagnes vertes sont des montagnes d'or et des montagnes d'argent » est devenu le consensus de tout le peuple. Environ un quart des zones vertes nouvellement ajoutées dans le monde entre 2000 et 2017 provenait de Chine, et le ratio de contribution de la Chine se classe au premier rang mondial.

En revanche, les États-Unis n'ont ni ratifié le « Protocole de Kyoto » ; ils ont éludé leurs responsabilités de protection de l'environnement de grande puissance ; ils se sont retirés de « l'Accord de Paris » et ont nié leurs propres tâches contraignantes et quantitatives de réduction des émissions; et ils ont également refusé de ratifier la « Convention de Bâle », ce qui constitue une grande menace pour l'écologie mondiale.

Les choix faits aujourd'hui par le gouvernement américain piétinent les efforts et les contributions que les autres pays ont apportées à l'écologie de la Terre. Selon un article du « New York Times », le gouvernement américain actuel a affaibli l'application de plus de 100 réglementations environnementales, impliquant la pollution de l'air, l'exploration et l'exploitation pétrolières et gazières, la protection des animaux et des plantes et écologique, la prévention de la pollution de l'eau et d'autres domaines. En tant que pays le plus avancé et le plus développé du monde aujourd'hui, les États-Unis ont régressé sur les questions écologiques et fréquemment « fait marche arrière », « freinant » non seulement la gouvernance écologique mondiale, mais s'acharnant également à être une « pierre d'achoppement ».

Le journal britannique « The Guardian » a récemment publié un article demandant si l'administration Trump tentait ou non de résoudre la crise climatique, puis a répondu à cette question par un simple mais puissant « non ». H. Christopher Frey, ancien président du Clean Air Scientific Advisory Committee (CASAC) de l'Agence américaine de protection de l'environnement, est également d'accord sur ce point : « La décision du gouvernement américain d'affaiblir de nombreuses normes de qualité de l'air montre que sur le long terme, il a clairement l'intention de dégrader la qualité de l'air ».

Le gouvernement américain considère l'« Accord de Paris » comme un véritable « ennemi ». En fait, ce sur quoi il devrait directement se pencher, ce sont les conflits internes qui s'intensifient chaque jour davantage. Dans un article intitulé « Le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat est un acte raciste », le Guardian a rapporté que l'agence de protection de l'environnement des États-Unis a constaté que les personnes de couleur et les communautés autochtones étaient les plus touchées par la pollution de l'environnement. L'article a ajouté que Donald Trump a piétiné les normes de base de la protection de la vie de millions de personnes de couleur.

Les États-Unis ont à maintes reprises esquivé leurs responsabilités en matière de protection de l'environnement et sapé le processus mondial de protection écologique. Non seulement ils ignorent les règles de la communauté internationale, mais ils bafouent aussi impitoyablement les droits et les intérêts des pays en développement et des groupes vulnérables. À ce jour, les États-Unis n'ont pas ratifié la Convention de Bâle, dressant ainsi des obstacles au processus de gouvernance des déchets plastiques mondiaux et à d'autres, et portant indûment préjudice à l'environnement mondial et à la santé des populations. Cela revient à ouvrir la porte à l'envoi d'une grande quantité de déchets dangereux vers les pays en développement.

La communauté internationale est profondément déçue par la série de retraits du gouvernement américain. Pour protéger une communauté avec un avenir partagé pour l'humanité, les problèmes écologiques et environnementaux mondiaux doivent être résolus de toute urgence conjointement par tous les pays. Le « Guardian » a noté que les politiciens américains ont fait faire au monde un grand pas en arrière dans la résolution du problème de la crise de la vie et de la mort sur la planète.

La construction écologique est un défi commun auquel l'humanité est confrontée. Aujourd'hui, tous les pays sont une communauté avec un avenir commun pour l'humanité. Les États-Unis, tels une autruche sourde et aveugle qui enfouit sa tête dans le sable, n'écoutent pas, ne voient pas et ne reconnaissent pas les réalisations d'autres pays en matière de gouvernance environnementale, et tentent d'utiliser des mensonges pour passer outre le bien-être de toute l'humanité.

Face à une même terre où les êtres humains vivent ensemble, les États-Unis, pour leur propre intérêt, sapent la coopération internationale et, absents des questions environnementales, sont devenus « l'ennemi public » de la civilisation écologique humaine.

Par Su Yingxiang

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(Rédacteurs :孙晨晨, Yishuang Liu)
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