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Les politiciens américains disent « Aime ton prochain comme toi-même » mais se montrent en fait égoïstes et froids

le Quotidien du Peuple en ligne | 06.05.2020 20h35

Le virus est l'ennemi commun de l'humanité et la situation épidémique est un défi commun auquel font face tous les pays. Alors que la pandémie fat rage, tous les pays font de leur mieux pour aider les autres tout en assurant la prévention et le contrôle chez eux. C'est à la fois une expression de la nature humaine et de la moralité. En repensant à certains politiciens américains et à leurs partisans, le commandement biblique « Aime ton prochain comme toi-même », même quand il est suspendu à leurs lèvres, est en fait empreint de froideur et de manque de compassion. Ils calomnient l'aide de la Chine, qu'ils qualifient de « générosité politique », le soutien d'experts est pour eux une « expansion géographique », le soutien matériel est de la « diplomatie masquée ». Leur étroitesse d'esprit et leurs basses manœuvres stupéfient de nombreuses personnes.

La vie n'a pas de prix, sauver les gens passe avant tout ; et comme le dit le proverbe chinois, « Pour la grâce d'une goutte d'eau offerte, une source te sera rendue en retour ». Au moment critique de sa lutte contre l'épidémie, la Chine a reçu une grande aide de la communauté internationale, et de nombreux pays lui ont rapidement envoyé des fournitures médicales et d'autres formes d'assistance. La Chine est reconnaissante pour toutes ces mains tendues de tous les pays et elle ne les oubliera jamais. Après que la situation épidémique a été globalement maîtrisée chez elle, la Chine a activement déployé une assistance à la lutte contre la maladie à l'étranger et lancé une opération humanitaire d'urgence avec la durée d'assistance la plus concentrée et la plus étendue depuis la fondation de la République populaire de Chine. De Tokyo à Paris, de Téhéran à Madrid, des rives de la mer Noire à la Corne de l'Afrique... Ce printemps, des lots de fournitures médicales en provenance de Chine sont arrivés dans les principaux aéroports du monde, des fonds ont été donnés à des organisations internationales telles que l'Organisation mondiale de la santé, et des groupe d'experts médicaux chinois ont fait le tour du monde. Dans de nombreux endroits, des vidéoconférences d'experts ont eu lieu, et cela sur les cinq continents. La Chine, qui propose de promouvoir la construction d'une communauté de destin humain, met en œuvre ce concept avec ses propres actions pratiques. Les faits ne peuvent être déformés et la justice ne peut pas être salie. Tous les efforts déployés par les pays du monde pour sauver des vies doivent être respectés et réaffirmés, et même le cœur d'un homme mesquin ne vaudra jamais le ventre d'un homme de bien !

Certains politiciens américains ont déclaré publiquement qu'ils s'appuient non seulement sur la richesse et la force, mais aussi sur « trois armes magiques » : une gouvernance nationale fructueuse, la fourniture de biens publics au monde et la direction de la capacité et de la volonté des pays à réagir aux crises. Cependant, les gens ne peuvent s'empêcher de demander, qu'est-ce que les États-Unis ont fait exactement pour leur propre pays et le monde face à la situation épidémique ? Au début de l'épidémie, les États-Unis ont ignoré les avertissements de l'OMS, n'ont pas pris de mesures efficaces et retardé leur réponse à la maladie, ce qui a provoqué l'éclosion de l'épidémie aux États-Unis. Face à leur faillite et leurs erreurs, leur seule réponse a été de tenter, pour fuir leurs responsabilités, de faire porter le chapeau aux autres, d'abord à la Chine, ensuite l'Organisation mondiale de la santé et enfin aux immigrants. Extérieurement, ils ont ignoré les besoin urgents de la lutte contre l'épidémie et ont même renforcé leurs sanctions contre l'Iran, la Syrie, le Venezuela et d'autres pays, et ont averti d'autres pays de ne pas accepter d'équipes médicales de lutte conter l'épidémie cubaines avec des remarques absurdes. L'OMS est une organisation internationale importante pour aider les pays à lutter contre les épidémies, mais les États-Unis n'hésitent pas à la menacer de lui « couper les vivres » et de « se retirer du groupe », et ont même demandé arbitrairement le remplacement des dirigeants de l'OMS, pourtant élus par divers pays. Dans tout cela, y a-t-il la moindre trace du commandement « Aime ton prochain comme toi-même » ?

Le virus sévit toujours et il n'y a pas d'île sûre où s'abriter ; seules l'entraide et la coopération pourront permettre de surmonter les difficultés. C'est une vérité fondamentale et un consensus international. En repensant aux États-Unis, les Nations Unies ont lancé un plan mondial de coopération pour le développement de vaccins et de médicaments. Les États-Unis ont refusé d'y participer. Le Washington Post a critiqué cette position, écrivant : « Au cours des deux derniers mois, la vie a changé de façon spectaculaire, mais la seule chose qui n'a pas changé est l'échec de la politique étrangère de l'administration Trump »; les matériaux de lutte contre l'épidémie sont très demandés dans le monde, et faisant même fi l'amitié de leurs alliés, les États-Unis sont allés jusqu'à intercepter des matériaux de lutte contre l'épidémie commandés par d'autres pays ; les vaccins sont l'espoir et l'outil décisif de la victoire contre la maladie, mais les États-Unis ont quand même cherché à acheter la propriété du nouveau vaccin contre le coronavirus à une société de recherche et développement de vaccins allemande, ce que des médias occidentaux n'ont pas hésité à qualifier de « piraterie moderne ». Le ministre allemand de la Santé, Jens Spanh, a quant à lui répondu directement que l'Allemagne « ne développera que des vaccins pour le monde », pas « pour des pays individuels ».

En temps de crise, le pouvoir moral et la chaleur humaine sont particulièrement précieux. Alors que l'épidémie fait rage, certains politiciens américain ont fait une analogie entre un accident de la circulation et l'épidémie de pneumonie à nouveau coronavirus, et dépeint la scène tragique de dizaines de milliers de décès avec une effarante légèreté, avec froideur et sans la moindre compassion. Certains responsables ont aussi ouvertement plaidé pour qu'on laisse le virus se propager et que les personnes âgées, malades, handicapées et sans abri soient éliminées, afin de « résoudre le lourd fardeau de notre société », suscitant la colère du public. Se montrer aussi froids et impitoyables est bien au-delà de la capacité de compréhension des gens de bien ! Certains politiciens américains se vantent de « la forte direction des États-Unis en réponse à l'épidémie », et le secrétaire d'État Mike Pompeo vante sans vergogne que la générosité est la valeur fondamentale des États-Unis, mais la situation actuelle est qu'« on entend seulement du bruit dans les escaliers, mais personne ne descend ». L'ambassadeur des États-Unis en Israël a naguère promis que son pays fournirait « 5 millions de dollars américains aux hôpitaux et familles palestiniens pour répondre aux besoins des urgences médicales pour lutter contre le nouveau coronavirus », mais le représentant de la Palestine en France a déclaré plus tard que la situation réelle du don était complètement différente de la description faite par les États-Unis, disant qu'ils ont menti sur la fourniture d'une assistance à la Palestine, de nombreux reportages publiés dans les médias ayant révélé que « pas un sou n'a été versé ».

Ironiquement, le magazine américain National Interest a déclaré : « Les États-Unis reçoivent plus d'aide chinoise que le gouvernement américain n'en fournit à sa propre population ». Il n'est pas difficile dans ces conditions de comprendre pourquoi certains internautes ont critiqué les politiciens américains, disant que « La nature humaine est une rareté, et la moralité est un luxe ».

L'humanité n'a qu'une seule terre et tous les pays sont dans le même monde. Face à cette flambée mondiale de prévention et de contrôle, rien n'est plus important que de sauver des vies et rien n'est plus urgent que de travailler ensemble.

(Par Zhong Sheng, Zhong Sheng est un pseudonyme souvent utilisé par le Quotidien du Peuple pour exprimer son point de vue sur la politique étrangère)

(Rédacteurs :Yishuang Liu, 孙晨晨)
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