Xinjiang : nos histoires à raconter, partie 4 – L'art

« La musique et la danse transcendent les frontières et les nationalités, contribuant à une diffusion du sentiment de beauté de grande portée ». « Lorsque je produis une chanson, je dois d'abord trouver une source d'inspiration, sinon je serais incapable de la composer ». Les amateurs d'art appelleront le Xinjiang le « pays du chant et de la danse ». Ici, l'instrument appelé « dutar » est joué et accompagné de chansons lors des réunions de famille, sur les marchés nocturnes, des personnes inconnues peuvent danser ensemble lors des fêtes communales ouïghoures appelées « meshhrep », et des personnes de différents groupes ethniques se réunissent pour danser dans les parcs. Lorsque vous entendez le son des chansons nationales traditionnelles, vous ressentez la chaleur, l'espoir ainsi que le bonheur transmis par la mélodie.

Partout où l'on va au Xinjiang, on trouve des « dieux du chant » et des « rois de la danse », comment ne pas ressentir une profonde affection pour cette terre ?

Voir aussi:

1. Xinjiang : nos histoires à raconter, partie 1 – Grandir

2. Xinjiang : nos histoires à raconter, partie 2 – La famille

3. Xinjiang : nos histoires à raconter, partie 3 – La récolte