Dernière mise à jour à 09h08 le 29/04
L'organe suprême de la législature chinoise a ratifié, jeudi, un traité international sur la réduction des émission de mercure, qui sont toxiques pour l'être humain et l'environnement.
Le Comité permanent de l'Assemblée populaire nationale (APN, parlement chinois) a approuvé la Convention de Minamata sur le mercure lors d'une session bimensuelle, qui s'est clôturée le même jour.
Ce traité international juridiquement obligatoire a été signé par, alors, l'ingénieur en chef du ministère de la Protection de l'environnement, Wan Bentai, au nom de la Chine, le 10 octobre 2013 à Kumamoto, au Japon.
Ce traité porte le nom de la ville japonaise de Minamata, où le méthylmercure en provenance des eaux usées industrielles de la ville avait fait des centaines de morts, et bien plus de handicapés dans les années 1950.
Selon un bilan établi le 2 novembre 2015, 128 pays et organisations régionales avaient signé la convention, et 18 d'entre eux, y compris les Etats-Unis, l'avaient ratifiée.
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