Dernière mise à jour à 15h06 le 25/09
Un responsable ivoirien chargé de la réinsertion des ex-combattants a indiqué jeudi que les ex-combattants de la crise post-électorale ne constituent pas une menace pour les prochaines élections présidentielles.
Christian Kodia Ago, responsable de la Cellule de coordination et de réinsertion des ex-combattants de Côte d'Ivoire, a déclaré à la presse que les ex-combattants ont été pris en compte dans le processus de démobilisation et de réinsertion.
"Nous avons même dépassé le chiffre de planification qui est de 64.000 personnes", a-t-il fait remarquer, assurant qu'il n'y a plus d'ex-combattants dans la nature.
"Il n'y a plus d'ex-combattants. Le désarmement est terminé depuis le 30 juin et la quiétude est revenue dans le pays", a-t-il souligné.
Pour Christian Kodia Ago, tous les acteurs doivent jouer leur partition pour que le pays aille à des élections apaisées.
La Côte d'Ivoire organisera le 25 octobre prochain l'élection présidentielle, censée traduire le retour de la paix et la normalisation de la vie politique dans le pays après la crise post-électorale de 2010.
Certains opposants estiment que les ex-belligérants non désarmés et non resocialisés constituaient une menace pour les élections.
Mais pour les autorités, un programme de réinsertion efficace a été mis en oeuvre et ce programme constitue une réponse à la politique du gouvernement visant à permettre aux ex-combattants de trouver une occupation socio-professionnelle.
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