Flash :

Corée du Sud : 209 écoles fermées par peur du virus MERS Le Sénat américain adopte réforme majeure des moyen de surveillance de la NSA Il est nécessaire d'organiser un référendum sur l'adhésion à la Zone euro Le gouvernement britannique exhorte les entreprises à mieux se protéger contre le nombre croissant de cyberattaques 28 paramilitaires tués dans des attentats à la voiture piégée à Baïji, en Irak Banques privées chinoises : quoi de neuf ? Cinéma : le Chinois Wanda rachète la chaîne australienne Hoyts La question étonnante d'un ado sorti du coma Changement climatique, sécurité alimentaire et agro-écologie : des défis aux solutions Changement climatique, sécurité alimentaire et agro-écologie : des défis aux solutions Polynésie française : collaborations avec les partenaires chinois Li Na a donné naissance à une petite fille Les Etats-Unis autorisent enfin les exportations de pommes chinoises Sites de rencontres : plus de Français à la recherche d’une relation sans lendemain Facebook : ouverture d'un labo à Paris sur l'intelligence artificielle Les rues de Chongqing hantées Un mini-monde des gratte-ciel emblématiques de Shanghai RDC : Joseph Kabila échange avec l'Archevêque de Kinshasa et les chefs coutumiers La Côte d'Ivoire et le Maroc signent six accords de coopération Burundi: reprise des manifestations contre le 3e mandat de Nkurunziza avec des scènes de violence

Français>>Afrique

Accusés de terrorisme, neuf extrémistes sont condamnés à mort en Égypte

( Source: Xinhua )

27.05.2015 09h09

Mardi, un tribunal égyptien a condamné à mort neuf extrémistes accusés d'avoir embrassé des idéologies extrémistes, d'avoir pris pour cibles des forces de sécurité et de s'être associés au groupe État islamique (EI), a révélé l'agence de presse officielle MENA.

La Cour pénale de Zagazig, dans la province de Sharqiya, à 65 kilomètres au nord du Caire, a condamné à mort les neuf prévenus, y compris le chef djihadiste Adel Habbara, également accusés d'être en possession d'armes à feu et d'explosifs.

Les forces de sécurité avaient précédemment arrêté le groupe de Sharqiya en déclarant que ses membres possédaient un certain nombre d'engins explosifs improvisés, de ceintures d'explosifs, d'armes à feu et de munitions.

Le ministère public les a accusés d'incitation à la violence, d'avoir recruté des jeunes pour leur apprendre à mener des activités terroristes, et d'avoir tenté d'entraver la Constitution et de renverser le régime.

L'Égypte assiste à une vague de violence depuis la destitution, par l'armée, de l'ancien président islamiste Mohamed Morsi en juillet 2013, suite à des manifestations de masse contre la politique qu'il mena et qui fut controversée pendant son année au pouvoir.

Les manœuvres de répression lancées contre ses partisans et les violentes dispersions des manifestations à la mi-août 2013 ont fait près de 1 000 morts et des milliers de personnes ont été arrêtées.

Depuis, des islamistes autoproclamés extrémistes et censés faire partie des défenseurs de Morsi, ont mené des attaques terroristes contre l'establishment, lesquelles ont ciblé la police, les forces armées et leurs installations partout dans le pays, en particulier dans le Sinaï, et qui ont fait des centaines de morts.

  • Nom d'utilisateur
  • Anonyme

Sélection de la rédaction

Les Articles les plus lus |Sondage

Pages spéciales