Le gouvernement français répond aux controverses sur la haute position du fils de Nicolas Sarkozy
Récemment, le fait que Jean Sarkozy, fils de Nicolas Sarkozy, allait assumer la fonction de responsable de la zone commerciale de La Défense, a provoqué des controverses du public, notamment du média. On critiquait Jean Sarkozy d'aller occuper une haute position, en comptant sur l'influence de son père. Le 18 octobre, le gouvernement français a répondu aux controverses, en proposant des mesures visant à assurer la transparence et la justice.
Bien que Jean Sarkozy, âgé de 23 ans, soit encore étudiant d'une université, il est déjà parlementaire de Neuilly-sur-Seine et le premier candidat à la présidence de l'Etablissement Public d'Aménagement de La Défense (EPAD). La divulgation de cette information a provoqué une vive controverse parmi le public. On critiquait Jean Sarkozy d'avoir occupé de hautes positions, en comptant sur l'influence de son père. Le public, notamment le média lui demandaient de renoncer à sa candidature.
Selon Gaëtan Gorce, parlementaire du Parti socialiste, qui a accordé une interview le 18 octobre à la radio Europe 1 (France), les députés qui ont décidé la candidature de Jean Sarkozy à la position de l'EPAD ne doivent pas participer au vote. « Afin d'assurer la transparence (de l'élection), comme l'on imagine, certains députés ne participeront pas au vote », a dit Luc Chatel, porte-parole du gouvernement français.
Selon Reuter, si l'élection a lieu selon la proposition de ces deux personnes, il n'y a que 4 représentants des partis de gauche, 4 représentants des partis de droite et 1 représentant de la chambre de commerce qui pourront décider si Jean Sarkozy pourra être élu ou non .
Antérieurement, Jean Sarkozy et son père ont remarqué que les critiques du public étaient « sans aucun fondement » et que la candidature de Jean Sarkozy est due tout à fait à ses capacités. « La légitimité de cette candidature subira les épreuves », ont-ils dit.